6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 19:00

 

 

Bonjour jolies crevettes argentées! 

 

 

J'espère que vous avez toutes passé un somptueux week-end (ouais, somptueux, c'mieux que "cool", top of the top!) et que vous serez nombreuses à faire le pont, demain, histoire de mieux profiter de la grisaille et de notre (nouveau?) président élu (en vrai, on s'en tamponne).

 

Pour ma part, je me suis un peu éloignée de la blogosphère, pendant une semaine, comme vous avez pu le remarquer. Mais je reviens vers vous avec un nouveau concept d'article (sur le blog, en tout cas). J'ai voulu partager, avec vous, des petits moments de bonheur ou des petits plaisirs simple, en photo. Parce que, oui, quand la blogueuse n'écrit pas d'articles passionnés(voir enervé, eheh...) et bien elle kiffe la life, Messieurs, Dames!

 

 

Parce que je rends mon mémoire dans moins d'un mois, il a fallu que je reste un peu tranquille, dans une ambiance studieuse et zen comme je les aime. Je n'ai pas pu m'empêcher de refaire la déco' de ma chambre pour me mettre en condition et je me suis parfois laissée allée à des moments de gourmandise et de détente.

 

 

 

C'est parti...

 

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Allumer des bougies qui sentent bon et planter des petites fleurs (On dit "Merci" à My Little Box qui nous gâte toujours avec des petits goodies géniaux). La bougie Narcisso Rodriguez sent divinement bon et l'ambiance qu'installe cette petite flamme me met toujours dans un état de calme assez rare (oui, je suis plutôt du genre stressé, moi). Les petites fleurs poussent à vue d'oeil et je me retrouve comme une gamine à constater qu'elles gagnent des millimètres en quelques heures. Pour la petite histoire, les dernières plantes que j'ai essayé de faire survivre étaient des plantes carnivores qui bectaient des mouches et qui puaient la mort. (Glamour et délicat, non?)

 

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Dans le cadre de mes recherches pour un devoir, j'ai dû parcourir la presse féminine et écumer la blogosphère à la recherche des tendances à venir. Autant vous le dire, des devoirs comme ceux là, j'en voudrais plus souvent! Mais voilà, les études s'achèvent fin Juin... (à moi la vie de working girl à plein temps!) J'ai adoré l'interview qu'a livré Rihanna au Elle d'Avril. En fait, j'adore Rihanna tout court. Je suis restée figée devant le retour en force des escarpins pointues (non, ils ne passeront pas par moi) et j'ai refusé de lire les chroniques minceur.

 

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La preuve en image: J'ai entièrement vidé mon distributeur à m&m's ramené de Disneyland Paris (oui, je vis à même pas une heure de ce parc et je trouve quand même le moyen de ramener des souvenirs, OUI!). Je crois que je vais avoir un problème lors des premières sorties à la mer, ils étaient au beurre de cacahuete (Non, Grazia, va te faire voir avec tes compléments alimentaires drainants).

 

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J'ai repris l'écriture de mon mémoire à la lumière d'un joli cube bleuté, que j'ai ressorti de mes cartons, il n'y a pas si longtemps, en me demandant pourquoi je ne l'avais jamais installé. Encore un truc Ikea qu'on achète et qu'on oublie (société de consommation, capitaliiisme, trop cool). Que voulez-vous, j'aime ces ambiances bleutées... (Pas fleur bleue pour autant, pas bête la guêpe!)

 

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J'ai trouvé le temps de m'affaler avec ma jolie AZ histoire de tenter quelques covers de Lana Del Rey, Rihanna (encore elle) et autres. Rien de transcendant. La voix suit, mais les mains non (l'éternel drâme de ma vie). Mais je ne connais que la persévérance, et je pense que je suis sur la bonne voie. L'avantage, de galèrer à ce point sur la guitare, c'est que ça donne une dimension "simple" à tout le reste.

 

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Et puisque je ne peux pas vous quitter et clore cet article sans une petite dose de paillettes (Barbara, si tu passes par là ), voici pour vous mes derniers achats (et les derniers pour quelques temps, parce que j'ai été vilaine avec la banque, oops). Ce sont deux des quatre nouveaux vernis Sephora. J'ai craqué sur un top coat à paillettes argentées longilignes (où suis-je allée chercher cet adjectif, bon sang!) et un flakies à paillettes mauves bleutées. Vous vous en doutez, je vous en parle très vite!

 

 

Voilà, j'espère que cette sélection de mes petits plaisirs du week-end vous auront plu. Mais maintenant, ce que je veux savoir, c'est quels ont été les vôtres!

 

 

 

Alors mes crevettes, vous faites quoi pour vous concentrer ou, au contraire, lâcher prise?

 

 

 

(Lecteur d'amour, j'ai arrêté de mettre des couleurs partout, mais tu m'aimes toujours, hein?)    


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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 18:00

 

 

 

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Bonjour charmants petits (et grands) geeks!

 

 

 

 

Aujourd’hui, je vais vous conter une histoire qui s’est passée la semaine dernière. J’ai eu quelques problèmes technologiques, disons. Malheureusement, la technologie n’est pas la seule à m’avoir contrariée... Je vous raconte, et, après avoir pesté contre une orange, il y a quelques temps, j’en viens à pester contre une pomme.

 

 

 

 

 

Chapitre 1: Le drame 

 

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Tranquillement installée à mon bureau, j’avais la motivation qui va bien pour une bonne journée de travail (avec ce temps là, j’vous dis pas la dose de vitamine C que j’ai du prendre pour y arriver). Mais, mon ordinateur (un Mac Book Pro, pour être précise, ça a son intérêt pour la suite de l’histoire, mais bon, c’est un ordinateur, quoi) avait oublié de prendre son petit déjeuner et boudait déjà niveau batterie. N’écoutant que ma générosité et, pleine d’empathie, je décide de le brancher. Et là, mes petits colibris des champs, c’est le drame: le chargeur de mon mac a rendu l’âme. Il n’y a plus rien à faire pour lui (paix à son âme, repose en paix... blablabla). Après de multiples tentatives et tests avec le matériel de mes collègues (ouaip, au boulot, c’est un peu un pommier), rien à faire, le verdict tombe, c’est bien mon chargeur qui a rendu son dernier souffle.


 

Armée de courage, (le courage de la carte bleue, vous savez?) je me suis rendue sur le site d’Apple pour voir ce qu’il était possible de faire. Ordinateur sous garantie pendant un an mais chargeur sous garantie pendant trois mois (sorry, you loose). Là, je commence un peu à m’échauffer, parce que, ce matériel, je l’ai quand même payé près de 2000 euros et, avec un tel coût, on s’attend au moins à pouvoir lui faire confiance. Eh beh non! Le chargeur me lâche au bout de huit mois! Et je dois raquer (payer, m’acquitter, tout ça) 79 euros pour pouvoir continuer à utiliser mon mac! (Tu notera, lecteur, l’accumulation de points d’exclamation. Prend ça comme un indicateur de colère qui monte, qui monte, qui monte...)

 


 

 

Chapitre 2: La désillusion


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Bref, je suis pas d’accord, ça m’embête quelque peu, je vais à l’Apple Store d’Opéra (à Paris, désolée provinciale chérie, sache que toi et ton soleil, je vous aime). Je leur explique qu’il m’est arrivé un grand malheur, que mon chargeur est tombé en panne et je leur demande quelles sont mes options.


 

Première réponse: «Mademoiselle, un produit Apple ne tombe pas en panne, on le met en panne!» (regard outré qui va avec de la part du vendeur et tout, et tout.)


 

Alooors, comment te dire, lecteur, que cette réponse m’a, à la fois, donné envie de brûler l’Apple Store et, en même temps, donné envie de me mettre à rire aux larmes. J’ai gardé mon calme j’ai juste gentiment expliqué que je ne suis pas une «Pro Apple» (Vous savez, cette secte bizarre qui pense qu’elle a rejoint une élite en claquant toute sa tune dans un appareil avec une pomme dessus? Mais si... vous voyez), que je suis une cliente, une consommatrice, et que, par conséquent, ils pourraient avoir un comportement plus «commercial» disons, à mon égard.

 

 

 

 

Là, le bonhomme me sort:

 


 1) Que je peux attendre une semaine d’avoir un rendez-vous avec le SAV qui effectuera une réparation pour 49 euros.

 

 

 2) Que je peux racheter un chargeur à 79 euros, si je suis pressée.

 

 

( 3) «On vous l’offre parce que vous l’avez payé un rein, il y a quelques mois, et qu’il ne marche pas, pardonnez-nous pour ce désagrément, nous espérons que vous garderez votre confiance en nos produits...» Non? Ah non.)

 

 

 

 

 

Chapitre 3: La colère

 

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N’ayant pas le choix et ne pouvant pas franchement me permettre de perdre une semaine de boulot pour «économiser» trente euros, je lâche l’affaire, dépitée et j’investi. (Bon, il s’avère que j’ai un patron sympa qui a investi à ma place, mais ça, c’est une autre histoire) On me dit que je peux payer par chèque, si ça m’arrange... (comment te dire que ce qui m’aurait arrangé, ça aurait été de ne PAS payer?)


 

J’ai tout de même envoyé un mail (en anglais, la classe ou pas?) au QG d’Apple pour leur faire part de mon mécontentement. La réponse est arrivée très rapidement. Ils sont désolés que je sois déçue et me proposent d’appeler un numéro de téléphone en particulier car ils ne peuvent rien pour moi.


 

J’appelle: 

 

«Mademoiselle, le mieux à faire serait de vous rendre dans un Apple Store.» (Ô rage, Ô désespoir...)

 

 

 

Donc, si on fait un point rapide:

 

  • SAV Apple? zéro, inexistant, kaput. Moi? Déçue et un peu remontée.

 

  • Élitisme de la communauté Apple? Toujours bien présent. Toujours aussi exaspérant.

 

  • Les promesses d’Apple? «m’accompagner au mieux», «me satisfaire», «la fiabilité des produits» : Du vent!

 

 

 

 

 

Au final, et pour reprendre leur pub, si vous n’avez plus de chargeur mac, beh... vous n’avez plus de chargeur mac. Et vous vous démerdez.

 

 

 


 

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